Essai Mini Countryman D : LE BON CHOIX SI…
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La publicité pourrait nous laisser imaginer que seules les voitures électriques sont disponibles dans les concessions des constructeurs. Mais MINI continue de penser qu’une motorisation est faite pour un usage. Et qu’en tant que constructeur ayant une vision mondiale, il n’est pas possible de ne plus produire de moteurs thermiques. De fait, il existe toujours une version diesel de la MINI Countryman. Pourquoi faut-il (ou pas) opter pour cette dernière ?
Plus grand que l’ancien
Le nouveau Countryman a grandi par rapport aux précédentes versions. Ainsi, le tout premier SUV de la marque, le R60, sorti en 2010, mesurait environ 4,10 mètres de long (1,56 de haut et 1,79 de large). La version suivante (F60, à partir de 2017), affichait une longueur de 4,29 mètres (1,58 de haut et 1,82 de large). Le dernier né, U25, offre 4,43 mètres (1,66 en hauteur, 1,84 en largeur).
Cette « poussée de croissance » bénéficie à la fois aux passagers arrière (l’empattement est passé de 2,59 à 2,69 mètres entre le R60 et le U25) et au coffre. Ce dernier peut accueillir plus de bagages grâce à une capacité de chargement entre 460 et 1450 litres, contre 450 à 1390 litres pour la génération précédente.
On retrouve, contrairement aux versions électriques et hybrides, la banquette arrière qui coulisse sur 13 centimètres, ce qui offre une modularité intéressante et permet de libérer un espace supplémentaire pour les jambes à l’arrière ou, à l’inverse, plus d’espace de chargement dans le coffre. Elle est disponible pour tous les modèles thermiques avec les finitions Classic, Favoured ou JCW pour un niveau de pack S ou supérieur (pack S, M, L, XL).
Les dossiers des trois sièges arrière peuvent être réglés individuellement dans six positions, jusqu’à 12 degrés d’inclinaison, et les dossiers des sièges arrières rabattables selon le schéma 40:20:40. Les barres de toit en noir brillant font désormais partie de l’équipement de série.
